
Après quelques jours d’absence, voici un petit lien vers un très joli texte sur la « retraite intérieure » rédigé par P. Milsonneau pour l’excellente revue Martiniste Pantacle (n°14, 2006).
Si je reviens souvent aux textes de Saint Martin et de ses exégètes, c’est que j’y trouve toujours quelque chose de très apaisant et inspirant. Saint Martin prônait ce qu’il appelait la « voie cardiaque » pour aborder la spiritualité, le mysticisme et les « Vérités ». Loin des loges et de la rituélie, le « Philosophe Inconnu » ne cessait de rappeler que la Paix était à chercher en soi, dans la simplicité d’une mystique que l’on est trop souvent enclins à chercher ailleurs.
Quoi de plus juste que ces quelques acceptions: « J’ai senti et je dois avouer qu’il n’y a d’indispensable pour l’homme que ce qu’il peut et doit faire sans aucun secours des hommes et des circonstances… Voilà pourquoi la vérité est la plus simple et la plus facile des sciences »; ou encore, « l’unité ne se trouve guère dans les associations, elle ne se trouve que dans notre jonction individuelle avec Dieu. Ce n’est qu’après qu’elle est faite que nous nous trouvons naturellement les frères les uns des autres ».
Pour continuer la lecture: https://www.google.com/url?sa=t&rct=j&q=&esrc=s&source=web&cd=4&ved=0ahUKEwiy9ODoyIPbAhVKwBQKHUGWDwwQFgg-MAM&url=https%3A%2F%2Fmartiniste.org%2Fwp-content%2Fuploads%2F2017%2F08%2Fpantacle_14_2006.pdf&usg=AOvVaw0THO5TweoOoPUEeyDyKd1M pp. 25 et suiv.
Fr. Kearan.